Une fête... Encore une - pv tom - SX -

Vingt-deux ans ? Elle paraissait un peu plus jeune mais bon. Il n'avait pas à remettre sa parole en doute, et puis, elle avait l'air sincère. Il goba donc le mensonge comme une mouche gobe une larve. Puis il répondit :

- Moi j'en ai 25. Je trouve que tu fais plus jeune. Enfin bon, je n'ai jamais été doué pour trouver l'âge d'une personne.

Il lui fit un sourire. Moka lui demanda alors si il voulait à boire. Il accepta, et, pendant qu'elle partait chercher les boissons, se remit à sa guitare...

- « I shall meet the lights at the corner of our eyes are crossing on the beach a summer day »

Moka revint, mais il ne s'arrêta pas de jouer, jusqu'à que la chanson se termine. Il posa alors sa guitare à côté de lui, leva la tête vers Moka, et prit le verre qu'elle lui tendait, tout en lui rendant son sourire :

- Merci.

Buvant une gorgée de son Jean Tonic, il jeta un coup d'oeil vers Moka, mais elle avait détourné la tête. Elle était vraiment belle... Et puis il n'y avait pas une grande différence d'âge entre eux. De plus, elle semblait libre...

Posant son verre sur le sable, il glissa une main dans celle qui était libre de Moka. Puis, de son autre main, il lui fit tourner le visage vers lui. Il plongea alors ses yeux d'un brun chocolat fondant dans les siens, d'un bleu marine profond, et s'y noya. Il remarqua alors la proximité de leur deux visages. Il sentait l'odeur de la mer, du sable, et du feu, se mêler au doux parfum de la jeune fille. Il sentait son haleine souffler sur son visage, et remarqua que leurs lèvres étaient plus poches qu'il ne l'avait cru... L'haleine de la jeune fille était si ennivrante qu'il ne put résister, et ses lèvres vinrent chercher un baiser sur celles de la demoiselle...

Cependant elle ne l'écoutait pas. Les paroles qu'il venait de chanter résonner encore et encore dans son crâne. « I shall meet the lights at the corner of our eyes are crossing on the beach a summer day » Et bizarrement, elle eu envie de murmurer la suite pour elle même. « But now, you tell me it's over, we had great fun, but the game is over. So how, could I once tell you I love you, my heart soared, for you to me as stolen ». C'est alors qu'il lui prit la main, doucement, tendrement. Comme si elle était la plus fragile des fleurs. En même temps, c'est ce qu'elle laissait parraître, alors qu'elle savait trés bien se défendre depuis ce fameux soir dont elle refusait les souvenirs. De son autre main, il tourna le visage de Moka vers le siens. Elle fut choquée. Comment des yeux aussi magnfique arrivaient-ils à montrer autant de sentiments ? Elle remarque que le visage de Tom se rapprochait du siens. Etait-ce vraiment bien de faire ça ? Aprés tout qu'en avait-elle à faire ! Elle ne reverrais surement jamais ce professeur de sa vie. Elle adorer la musique mais ne prenait pas de cours, n'y rien d'autre. Les lèvres de Tom trouvèrent celle de la jeune femme. Pourquoi ce professeur n'était-il pas comme les autres gars qu'elle embrassait. Pourquoi elle avait l'impression que son coeur se déchirait à à cet instant même. Pourquoi se torturait-elle pour rien alors que ses lèvres douces et sucrées rencontrer leur âmes soeurs ? Il boule dans son ventre se formait quand elle posa son verre sur le sable et que Tom l'embrassa dans le cou. Mais que faisait-il ? Avait-il l'intention de... Sans qu'elle ne puisse se poser d'autre question, ses lèvres retournèrent sur les siennes, avec une sensation enivrante. Ce baiser voulait tout dire pour lui... Pas pour elle. Elle lui avait mentit, mais ne reviendrais pas en arrière. Une des mains de Tom se placa dérrière son cou à la base de son crâne pour mettre plus d'ardeurs dans ses baisers. Pour la privée de toute échapatoir possible.

Ils avaient continuer leurs baisers, et elle avait toujours autant de remords à avoir mentit à Tom. Mais elle ne lui dirait pas la vérité. Jamais. Elle sentait le coeur du jeune homme bondir dans sa poitrine... Au même rythme que le siens. Son avait arrêter de battre si fort le jour ou on l'avait violé, à ses 15 ans. Personne ne le savait à part son père est Ilona. C'était pour cette raison et aussi pour le divorce de ses parents qu'elle était devenue comme ça. Qu'elle aimait faire la fête. Et qu'elle était populaire dans l'Université.
Leurs baisers se firent de plus en plus pressants, une des mains de Tom se baladait sur une de ses hanches, l'autre passer et revenait sans cesse sur sont bras, comme une caresse reposante et calme. Elle était réellement bien avec lui. Le premier qui les déranger se prendrait un gros cou de poing dans l'estomac.
Ses lèvres se détachèrent des siennes pour remonter lentement vers son oreille, doucement, tout doucement, prenant soin d'embrasser chaque partie séparant ce que ses lèvres convoiter. Il lui murmura au creux de l'oreille d'une voix envoûtante:

- Et si on allait chez moi ?

Elle ne put qu'acquiescer à sa demande tellement elle était sous le charme de Tom.

- Je reviens dans deux secondes. Je vais prévenir mon ami que je pars.

Elle se leva derrière lui. Il l'embrassa une ultime fois avant de s'en aller. Elle resta planter la une bonne minute, avant de décider d'aller voir Ilona pour lui dire qu'elle s'en allait. Ce soir elle était entourer de trois garçons, les trois à ses pieds évidemment. Elle lui expliqua la situation et lui dit qu'elle lui racontera tout demain. Les trois garçons suivirent la jeune blonde des yeux un instant avant de se faire rappeler à l'ordre par Ilo. Moka souris avant de voir Tom rejoué de la guitare. Bizarrement à lui, elle ne pouvait pas lui faire du mal... Elle ne savait pas pourquoi mais c'était comme ça. Quand il la vit il se leva et l'embrassa avec passion, mais pas autant qu'il aurait voulu. Il prit sa main dans la sienne et l'emmena vers la rue. Moka eu juste le temps de remettre ses tongues avant qu'il la pousse limite dans le taxi et qu'il l'embrasse passionnement. Voulait-il se réserver pour quand elle serait chez lui. D'ailleurs ils arrivèrent devant un grand immeuble, ils sortirent de la et Tom continuait ses baisers. Dans le cou, sur les épaules, sur ses lèvres et chaque parcelle de son corps qui lui était offerte pour le moment. Même dans les escaliers pour monter chez lui, chaque marche était remplit de leur rire et de leur baiser. Arriver à son palier il ouvrit la porte la referma et posa sa guitare. Elle avait à peine eu le temps d'admirer le salon spacieux qu'elle fut recouverte de baisers à nouveau. Il l'embrassa lougouresement et la poussa dans une chambre. La sienne apparement. Il la fit basculer sur son lit et l'embrassa de nouveau. Il la fit reculer jusqu'à ce que sa tête touche l'oreiller. Souris.